Food, beauté, mode: ces entrepreneuses belges qui nous inspirent

On a toutes dans notre vie une superwoman que l’on admire et qui nous inspire. Une ou plusieurs, ce sont souvent des femmes qui osent et qui nous redonnent confiance dans le fait que rien n’est impossible!

Et parce que c’est chouette d’être solidaires entre nanas, découvrez ces entrepreneuses belges qui ont créé leur propre marque pour notre plus grand bonheur.

Lou et son tiroir féerique

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Multiples facettes

Lou est bobo, baroudeuse, BCBG, ou encore femme-enfant qui trempe ses doigts dans le pot de choco. Lou, c’est Stéphanie Dezangré et toutes ses facettes magiques. Cette jeune journaliste belge dans sa première vraie vie est devenue entrepreneuse. Journaliste, c’était un rêve de gamine: elle voulait présenter le JT avec un beau brushing!

Ce qui l’attire avant tout c’est le beau. Esthète dans l’âme, ce qu’elle aime dans l’écriture et le journalisme, c’est assembler les mots pour que ça rende joli. Quant aux bijoux, c’est une obsession depuis longtemps... à l’école déjà, elle vendait des bagues, confectionnées à partir d’attaches parisiennes, à ses copines.

«Je suis bien plus une créative qu’une aventurière. Ça me fait un peu mal de l’avouer, mais c’est vrai»

Le Tiroir de Lou

En 2013, Stéphanie se lance. Elle crée sa marque Le Tiroir de Lou, qui pour elle est d’abord un hobby, une échappatoire aux petits tracas du quotidien. Mais voilà, elle fête ses 30 ans et expérimente un burn out. Après une grande introspection, Lou décide de se consacrer entièrement au Tiroir de Lou. Elle abandonne sa chemise de journaliste pour revêtir son tablier d’orfèvre.

Lou (alias Stéphanie) met un point d’honneur sur la belgitude de sa marque: c’est du 100% belge! D’ailleurs, depuis quelque temps, une version de sa boutique en ligne est disponible pour les néerlandophones et on papote en flamand dans son atelier de Schaerbeek.

Où la trouver?

  • En ligne sur sa boutique en ligne, sur son blog ou par mail à info@tiroirdelou.com
  • Dans son atelier Tiroir de Lou- L’Atelier à 1030 Schaerbeek, les mercredis et jeudis après-midi sur rdv au +32 (0)473 27 09 17

Charlotte et Manon de BECAUSE Tattoo Studio

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Sister stories

Charlotte et Manon Ballestero voulaient créer un salon cosy où les tatouages ont des traits fins. C’est ainsi que Because. est né! Manon, l’aînée, a étudié les Sciences Politiques et le Droit International à l’ULB. Quant à la cadette, elle possède un Master en Communication et Relations Publiques de l’IHECS.

Les deux sœurs prennent les décisions importantes ensemble, mais c’est Charlotte qui reste à temps plein dans la société. Manon, elle, a gardé son travail à la ville de Bruxelles. Et si l’entreprise familiale fonctionne, c’est parce que les deux frangines se vouent une confiance aveugle.

À la recherche de confort

« J’ai voulu me faire tatouer pour la première fois à Bruxelles, mais je n’ai pas trouvé d’endroit où je me sentais assez bien pour le faire. J’ai eu envie d’un salon de tatouage différent »

Charlotte expose alors son idée à sa grande sœur qui est tout de suite emballée. Ce projet, c’est un peu leur deuxième bébé, puisqu’au moment du lancement, Manon apprend qu’elle est enceinte. Elles devront attendre un peu avant de faire un tatouage en commun!

Chez Because., l’équipe est aux petits soins: ils assurent un suivi avant et après tattoo. Pas besoin de justification à son tatouage, pas de discrimination quant au modèle choisi, les deux artistes (Josh Andrade et Ubay Martin) sont ouverts à toute proposition et l’encre est entièrement végane (elle ne contient aucun ingrédient d’origine animale et n’est pas testée sur les animaux).

Où les trouver?

  • En ligne sur leur site, sur Facebook ou par mail contact@tattoostudiobecause.be
  • Au salon Because. au 9 Place de la petite Suisse, 1050 Ixelles (Horaires: Ma 14-19h, Me à Ve 11-19h, Sa 10-18h, Di et Lu Fermé)
  • Tél: +32 (0) 2 751 01 35

Perrine Rase, le bio pour seconde nature

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Seconde Nature

Allier plaisir et santé, c’est le défi que s’est lancé Perrine Rase. Jeune entrepreneuse belge, elle a monté sa propre ligne de cosmétiques bio à l’âge de 23 ans. Après des études en Relations Publique à l’UCL, Perrine développe pendant plus d’un an sa gamme de soins baptisée Seconde Nature.

Son objectif? Réconcilier le grand public avec la cosmétique bio. Passionnée par la cosmétique naturelle pour ses bienfaits, Perrine abandonne ses anciens produits de soins. Très peu pour elle, la longue liste d’ingrédients qui agressent les peaux sensibles.

Jeune entrepreneuse

Autodidacte, elle étudie l’aromathérapie à travers les livres et l’expérience. C’est ainsi qu’elle fabrique ses premiers produits de soins home made. L’idée lui paraît alors un peu folle… Qui est-elle pour monter sa propre boîte si jeune? Elle franchit le cap et ça lui réussit plutôt bien.

«J’arrive avec 80% du produit fini: l’idée, le type d’odeur, les matières premières. Mais comme je ne suis ni ingénieur chimiste, ni biologiste, je laisse le soin aux laborantins de choisir avec moi les texturisants, les dosages, les biocides…C’est un travail d’équipe»  (RTBF)

Elle collabore avec deux laboratoires, un à Marseille, l’autre à Spa. Seconde Nature porte la mention Slow cosmétique, grâce à ses ingrédients bio, vegan et fairtrade. Ce qu’il faut savoir, c’est que la marque de Perrine n’utilise pas d’huiles essentielles pour ne pas priver les personnes allergiques de ses soins.

Où la trouver?

  • En ligne sur son site, son blog ou par téléphone au +32 (0)10 41 82 02
  • Dans différents points de vente dans toute la Belgique
  • En organisant des ateliers beauté entre amies

Les soeurs Jacmin ou l’amour du denim japonais

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Les sœurs Jacmin

À l’origine de Façon Jacmin (FJ), il y a deux sœurs belges: Alexandra et Ségolène. Jumelles et complices, elles partagent un amour pour le Japon et le denim. Du coup, en 2016, les deux frangines s’associent pour créer une garde-robe entièrement en denim japonais.

La brunette, c’est Alexandra. Elle a suivi des études de stylisme à La Cambre et a travaillé pour les grands: Paule Ka, Jean-Charles de Castelbajac, les Maisons Martin Margiela et Jean-Paul Gaultier. Plus blondie et business, Ségolène est ingénieure civile de formation. Bien installée dans une carrière dans la consultance, elle décide de tout abandonner pour  s’embarquer dans une entreprise entre sœurs.

Denim et équitable

Leur philosophie est de proposer des vêtements de qualité, des pièces intemporelles et qui durent. FJ est une marque belge équitable qui produit dans des usines japonaises et européennes. Dans une démarche de slow fashion (même principe que la slow food, c-à-d. lutter contre une mode rapide, fabriquée à moindre coût dans des conditions déplorables), les deux sœurs prennent très à cœur le respect d’une mode éco-friendly. Elles visitent régulièrement leurs usines japonaises et européennes pour s’assurer des conditions de travail et de la traçabilité de chaque étape de création.

«La femme Façon Jacmin est à la recherche de qualité. C’est une femme qui sait ce qu’elle veut, elle est curieuse, ouverte, et avide de découvertes»

Pour Alexandra, le denim est une matière intéressante qu’il faut explorer, et ne surtout pas limiter au simple jeans. C’est ainsi qu’est née leur collection de prêt-à-porter. Les sœurs Jacmin veulent mettre en valeur les femmes avec des modèles féminins et charismatiques.

Où les trouver?

  • En ligne sur leur site, dans plusieurs boutiques virtuelles ou par mail à info@faconjacmin.com
  • On tour, avec leur concept de vente mobile, calendrier ici
  • Dans leur studio bruxellois, à la Rue du Fort 67, 1060 Saint-Gilles. Il est préférable de téléphoner pour savoir si elles s’y trouvent bien, +32 (0)474 330 25

Anaïs de Cokoa, la pâtisserie florale à l’honneur

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Multi passions

Derrière Cokoa, il y a Anaïs Gaudemer, une jeune femme aux passions multiples. Après 5 ans de formation en tant que paysagiste, elle travaille 4 ans dans un bureau d’architecture. Puis, Anaïs décide de marier son talent pour créer des structures esthétiques avec son amour d’enfance: la pâtisserie.

Son projet n’est pas né du jour au lendemain. Après plusieurs longs mois d’études, de formations et de stages, notamment un an auprès du chocolatier-pâtissier Marc Ducobu, elle réalise son envie de créer un atelier de saveurs. Anaïs axe sur la création et la créativité, elle s’inspire de la nature et réalise son concept de pâtisserie florale.

Flower power

Pionnière de la pâtisserie florale en Belgique, Anaïs confectionne gâteaux de mariage, petits biscuits, macarons et foule d’autres douceurs qu’elle décore avec des fleurs. Non seulement c’est bon, mais en plus c’est beau! Anaïs utilise en général des fleurs comestibles, mais aussi des pivoines par exemple, qui ornent ses plus grandes compositions.

 «Je souhaiterais incorporer des fleurs dans la préparation de mes pâtisseries en travaillant avec des huiles essentielles. Mais, le goût des fleurs est assez inhabituel. Il faut donc d’abord habituer le client à ces saveurs très particulières».

Si vous faites un tour sur sa page Instagram, vous verrez que ses gâteaux sont de véritables chefs-d’œuvre haut en couleurs. Anaïs prend elle-même les photos de ses créations, ce qui lui vaut parfois de se trouver dans de drôles de positions. Allez-y pour photographier une pièce montée vue depuis le haut...

Où la trouver?

  • En ligne, sur son site, sur Facebook ou par mail à info@cokoa.be
  • Dans son atelier Cokoa- La pâtisserie florale à la Chaussée de Boondael 66, 1050 Ixelles (Ma-Sa: sur rendez-vous et Mer-Je-Ve: 14h-18h30)
  • Biscuiterie en vente libre sur place // Entremets et autres gourmandises SUR COMMANDE au +32 (0)498/36.52.94

 « Less is mode », la devise de Stéphanie Anspach

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Un parcours autodidacte

Hors des sentiers battus, Stéphanie Anspach a sa devise particulière: less is mode. Du haut de ses 22 ans, la jeune femme réalise son rêve de créer sa propre marque: «une mode qui ne se prend pas la tête». En 2014, elle se lance avec une collection de dix pulls en tricot et fait le buzz avec sa vidéo de mannequins qui se promènent dans le métro parés de ses confections mais... sans pantalons!

Autodidacte dans l’âme, Stéphanie éprouve plus de satisfaction à apprendre par elle-même que par les bancs d’école. Elle fréquente la Cambre de ses 15 ans à 20 ans, et un an l’Atelier Lannaux, une école de stylisme privée à Bruxelles. Cependant, la jeune créatrice ne s’y plaît pas: trop de stress, trop de pression.

Mode minimaliste

Pourtant loin d’elle l’idée d’abandonner, elle va réaliser ses propres vêtements grâce à l’appui de mécènes qui croient en son projet. Stéphanie a pour muse Jane Birkin, l’incarnation de la classe sans trop d’efforts, selon elle. Un jeans, un pull, des baskets: des basiques à styliser de pièces plus pointues, c’est ainsi que Stéphanie conçoit la mode.

«La femme que j’habille est représentative de notre génération.
Elle est entreprenante, elle travaille, voyage. Elle a un certain goût et une envie de ne pas être comme tout le monde».

Dada du couple Jane Birkin et Serge Gainsbourg, Stéphanie les considèrent comme les déclencheurs de sa créativité. D’ailleurs, son chat adoré se prénomme Serge. Autre source d’inspiration: le rap. Elle aime écouter Drake ou Eminem quand elle imagine une collection. Un coup de boost à travers la rage et l’envie de réussir qu’ils dégagent.

Où la trouver?

  • En ligne, sur son site, son Facebook ou par mail contact@stephanieanspach.be
  • Dans plusieurs boutiques dans toute la Belgique
  • Au Showroom Bruxelles Belgiquems Compagny, 102 Avenue Louis Lepoutre, 1050 Bruxelles, tél.: Myriam Storckel, +32(0)475 842 007

Coco Donuts, un duo gourmand et craquant

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Bonne idée

Il était une fois dans un pays très lointain… deux copines qui ont décidé de transformer les  donuts en un snack gourmet! Candice Tielemans et Chloé Sengier sont toutes deux passionnées de voyages et de nourriture. C’est alors qu’elles étaient à Sydney en Australie que l’idée de COCO est née.

Chloé fait son Master en Marketing et Communication à l’Université de Technologie de Sydney et a travaillé dans des agences australiennes réputées telles que We Are Social et Havas Media. Pendant que Candice s’intéresse à la permaculture et fait le tour de l’Australie en apprenant comment manger sainement et préserver la Terre.

Petite révolution du donut

De retour à Bruxelles, elles unissent leurs atouts pour développer COCO. Candice et Chloé se soucient de se procurer de bons ingrédients locaux et respectueux de l’environnement. Dans leur démarche, il y a aussi la volonté de redorer l’image du donut américain des films que l’on voit souvent se faire engloutir par un flic pas très sexy. Chez COCO, c’est du donut belge et gourmet!

«Quand on est rentréES en Belgique, on avait envie de commencer une entreprise qui révolutionnerait la scène de la food à Bruxelles»

Les copines commencent l’aventure dans leur cuisine et vendent leurs premiers donuts en ligne, par Instagram, Facebook et leur site web. Après 3 mois, l’opportunité d’un pop-up store dans le quartier du Sablon à Bruxelles se présente. Même si la concrétisation du projet est un peu effrayante, elles se lancent! Pour la petite histoire du nom de leur entreprise, les deux « C » sont pour Chloé et Candice et les « O » représentent des donuts.

Où les trouver?

  • En ligne sur leur site, leur Facebook ou par mail à cocodonutsbrussels@gmail.com
  • Dans leur shop à Rue Sainte-Anne 36, 1000 Bruxelles
  • Tél.: +32 2 513 24 60

L’œil magique d’Elodie Deceuninck

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Métier magique

Grande rêveuse, Elodie Deceunink plonge dans l’univers de la photo depuis toute petite. Son papa se promenait souvent avec un appareil photo autour du cou et avait une chambre noire. Elle a eu l’envie et la chance de faire de sa passion son travail. La photographie donne aujourd’hui un sens à sa vie.

À la recherche d’un retour à l’essentiel, d’un retour au réel, Elodie Deceunink veut des sentiments, des rires, de l’amour. En photographiant des moments heureux, elle espère créer des souvenirs magiques pour toute la vie. Elodie immortalise des instants de bonheurs: des mariages aux naissances, en passant par des portraits, cette poète des images a déjà une belle palette de clichés à son actif.

Clic-Clac

Après ses débuts en photographe indépendante de mariage, Elodie lance HelloMadame avec une copine. L’idée: organiser des séances photos pour graver les EVJF.  Installée à Bruxelles, Elodie garde sa valise prête au cas où elle devrait shooter à l’autre bout de la planète. Voyager: elle adore! Sinon, la photographe s’évade aussi grâce à la lecture et aux tonnes de livres qu’elle accumule à côté de sa table de chevet.

« Il y a peu, dans une chanson de Timp Dup, j’ai entendu le terme de « ramasseur de souvenirs » et je trouve qu’il nous va plutôt bien»

Elle se dit discrète. Dans la présentation de son site, elle se définit par deux films: un classique de Michel Gondry, Eternal Sunshine of The Endless spotmind et The Big Fish de Tim Burton. Une éternelle romantique dotée d’un grand sens de l’esthétisme!

Où la trouver?

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