Label & la Belge: Valérie Bourgoin, l’architecte de la chaussure chic

Marie Honnay nous présente chaque mois une initiative locale qui la fait vibrer. Au tour de Valérie Bourgoin, l’architecte de la chaussure chic.

La femme derrière la marque ?

Valérie Bourgoin, une Française installée en Belgique avec sa famille. Son premier métier : architecte d’intérieur. Elle a aussi exercé celui de galeriste avant de se tourner définitivement vers l’accessoire : une passion née dès l’enfance, quand elle accompagnait sa maman, cadre aux Galerie Lafayette, dans les coulisses de l’enseigne parisienne. Dans le registre de la chaussure, tout est une question d’esthétique, mais surtout de forme, de volume, de construction et de proportions. Les quatre fondamentaux d’un soulier de qualité qui dressent, au passage, un pont entre les deux vies de Valérie.

 

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Après avoir dessiné des accessoires pour d’autres marques pendant plusieurs années, elle a choisi de lancer la sienne en 2019. Dessinés à Bruxelles et faits dans les plus beaux cuirs — sélectionnés par Valérie dans les meilleures tanneries d’Italie —, les modèles du label sont assemblés dans des ateliers au Portugal.

Pourquoi je craque ?

Dès que vous enfilez une chaussure Valérie Bourgoin, vous sentez que votre démarche — et donc votre allure — est plus assurée. À mi-chemin entre masculin et féminin, les modèles emblématiques de la marque sont inspirés du mocassin que Valérie réinvente de saison en saison. Jamais trop haut perchés, même dans le cas des modèles à talon, ils dégagent une sensation de confort et restent chics, quoi qu’il arrive. Le secret : une couche de mousse présente sur tous les souliers, hiver comme été, qui absorbe les chocs. Cet été, je suis fan de ses sandales Volute en cuir doré inspirées d’un tatouage oriental, sublimes sur une peau bronzée.

 

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Les pièces à s’offrir absolument ?

La sandale Noélie et la mule Nine, deux modèles dont le tressage est inspiré de la paille caressée par le soleil durant l’été. L’automne prochain, on succombera aussi au charme de la première tennis montante dessinée par Valérie. Né d’une envie de se réapproprier le concept de sportswear, ce modèle allie confort, intemporalité et chic urbain. « Un bon modèle ne doit pas vous obliger à réfléchir deux heures pour savoir avec quoi le porter. Les souliers androgynes sont plus facilement combinables avec tout. Côté couleur, les cuirs neutres sont idéaux en été. »

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