Avec 12 millions de livres vendus et traduits en 40 langues, il est une icône de la littérature populaire. Romancier devenu également homme d’affaires à la tête d’une maison d’édition, le trentenaire genevois croit en la concrétisation des rêves. Par Paloma de Boismorel. Photo: Laetizia Bazzoni.

Imperturbable comme le lac Léman par beau temps, Joël Dicker se lève pour me serrer la main. À première vue, le jeune homme interviewé dix ans plus tôt ans à la Foire du livre pour la parution de La Vérité sur l’affaire Harry Quebert n’a pas tellement changé : même sourire bravache, même baskets et jeans décontractés, peut-être juste la mine un peu plus fatiguée

J’ai lu que vous aviez créé à 10 ans un journal sur les animaux. Quel petit garçon étiez-vous ?

J’étais un petit garçon plein de rêves, j’aimais imaginer plein de projets et de choses différentes, mais en même temps, j’étais dans le concret. J’avais justement fait ce petit journal parce que j’ai toujours aimé me donner les moyens de concrétiser mes rêveries. J’avais de la peine, par exemple, à trouver un groupe de musique dans lequel les membres étaient aussi motivés que moi pour répéter. J’ai donc toujours été très sérieux malgré ce côté rêveur.

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