Pierre Marcolini: son flashback sur 2017, ses projets pour 2018

Réunis autour de la table d’Isabelle Arpin, nos anciens Guests sont revenus pour GAEL sur l’année écoulée et nous ont révélé leurs projets pour 2018. Pierre Marcolini dresse le bilan d’une année aussi riche en souvenirs qu’en chocolats et évoque ses projets pour la nouvelle année!

Ah, 2017...

« Mon fils est parti poursuivre ses études aux États-Unis. Il vient de démarrer un master en droit à New York. Nous sommes très complices. Le voir partir — même si c’est pour accomplir son rêve — n’a rien d’une évidence. Cet éloignement n’est pas toujours facile à vivre. En même temps, je suis très fier qu’il puisse s’accomplir dans un secteur qui lui est propre. Lorsque je forme des jeunes ou que je participe à des émissions culinaires, je me rends compte de la difficulté que certains éprouvent à trouver leur voie. Dans le cas de mon fils, ça s’est fait en dehors de tout carcan, de toute obligation de se conformer à une tradition familiale. Et c’est fabuleux! »

Mon 2018

« Notre grand challenge sera de lancer la marque au Moyen-Orient par le biais de boutiques que nous ouvrons à Dubaï et à Abu Dhabi. Ce qui me passionne, lorsque nous investissons de nouveaux marchés, c’est de m’imprégner de la culture du pays. À l’occasion de ces ouvertures, nous avons créé Divin(e) Orient, une pâte à la fleur d’oranger, au miel d’acacia, aux pistaches grillées et aux dattes enrobée de chocolat. Ces produits sont à la fois un hommage au pays dans lequel nous nous installons et une manière de partager leurs traditions culinaires avec les autres marchés dans lesquels nous sommes distribués, dont l’Europe, bien entendu. »

 

Retrouvez plus de souvenirs de nos Guests dans le nouveau GAEL de janvier déjà disponible en librairie.

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