Combats caritatifs & rôle de maman: Julie Taton se dévoile côté privé

Chaque mois, GAEL demande à une personnalité de raconter une histoire autour d’un cliché perso. Au tour de Julie Taton de se dévoiler. Son combat pour des associations, son rôle de maman et ses accouchements: l’animatrice nous parle de son nouveau quotidien sans tabou.

Cet article fait partie d’un dossier paru dans le GAEL de mai. Pour le lire, il vous suffit de vous inscrire ci-dessous! Cela ne prendra qu’une minute et c’est 100% gratuit!

L’instantané de Julie Taton

« Cette photo a été prise une semaine après la naissance de notre deuxième enfant, Tahoe. Nous étions au service de néonatologie, Tahoe aurait dû être dans mon ventre pendant encore un mois. On aperçoit d’ailleurs les câbles sur la photo, c’était un bébé branché !

 

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Ce deuxième accouchement fut nettement moins stressant que le premier, même si Tahoe est arrivé plus tôt que prévu. Avec Côme, tout était plus difficile. Il est né avec un angiome plan sur le visage. Les deux premières années de sa vie, on les a quasiment passées à l’hôpital afin de faire des examens et de traiter cette petite “tachounette”. Il a même dû subir une ponction lombaire avant ses trois mois, car les médecins suspectaient une méningite. C’est dans ces moments que je vois à quel point ils sont différents, Tahoe, c’est un petit castard zen. Il mange, il dort et il se marre, un vrai petit bouddha ! Côme était plus mince, il était souvent malade et semblait plus fragile.

« Je me sens privilégiée »

Malgré les petits soucis de santé de Côme, je me dis qu’on a de la chance. On soupçonnait des problèmes bien plus graves, parfois vitaux, mais on s’en est toujours bien sortis. Je ne suis certainement pas la seule à avoir vécu une expérience particulière à l’accouchement, mais je me sens malgré tout privilégiée. Certaines mamans ont des enfants gravement malades, n’ont pas un mari qui les aide ou connaissent des soucis financiers. Je voulais agir à mon échelle, j’ai donc lancé un projet avec la Croix-Rouge et les magasins Orchestra. Au lieu de faire une liste de naissance pour moi, je l’ai faite pour des mamans dans le besoin. Grâce aux dons, elles recevront des kits de naissance ainsi que de petits cadeaux. Un coup de pouce pour leur apporter un peu de légèreté.

 

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Cette année, je suis aussi ambassadrice de La Marche rose de Pink Ribbon, qui encourage les Belges à faire 10 000 pas par jour pour diminuer le risque de cancer du sein. J’ai toujours participé à de nombreux projets caritatifs, comme le Télévie, mais être devenue maman a complètement changé les choses. Quand tu mets des enfants au monde, tu deviens vulnérable. C’est ce qui t’est arrivé de plus beau, ce qui te rend la plus fragile. S’il leur arrive quelque chose, ton monde s’écroule. C’est la raison pour laquelle je suis encore plus sensible à ce genre d’actions. Je dois le reconnaître, je n’arrive pas encore au cap des 10 000 pas par jour, mais je me force à me balader davantage et à jouer dans le jardin avec les enfants. Ce confinement m’a fait prendre conscience qu’on se plaint parfois beaucoup. J’ai encore plein de projets en tête, j’espère pouvoir travailler sur la différence l’année prochaine et transmettre à mes enfants l’importance d’être tolérant, gentil et bienveillant.»

SON ACTU

Jusqu’au 8 mai, vous pouvez faire un don via la liste de naissance #LaListeNouveauNe lancée par Julie Taton en collaboration avec Orchestra et la Croix- Rouge. Julie est également l’ambassadrice de la troisième édition de La Marche rose, un événement virtuel organisé par Pink Ribbon qui vous invite à faire 10 000 pas par jour du 1er au 31 mai.

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