Cinéma: les 5 sorties qu’on ne ratera pas en mai

De la Queen de l’humour Amy Schumer au retour de Joaquin Phoenix en rescapé de la vie, notre journaliste cinéma vous dresse son top 5 du mois! Par Juliette Goudot.

I FEEL PRETTY

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Nouveau génie comique féminin à l’américaine, l’humoriste et comédienne Amy Schumer tente de dynamiter les clichés sur les diktats de la minceur et de la beauté dans cette comédie qui s’annonce légère, menée par le duo Abby Kohn et Marc Silverstein (Ce que pensent les hommes).

  • EN SALLES LE 2/5.

DON’T WORRY HE WON’T GET FAR ON FOOT

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«Il faut d’abord avoir été faible pour être fort», apprend Joaquin Phoenix dans le nouveau film de Gus Van Sant (Harvey Milk, Elephant), bouleversante comédie thérapeutique inspirée de la vie de John Callahan, cartooniste américain devenu paraplégique après un accident de la route en état d’ébriété. Remontant la pente en douze étapes vers la sobriété avec un coach New Age (Jonah Hill), le film se regarde comme une leçon de vie.

  • EN SALLES LE 18/4.

CHIEN

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L’écrivain et réalisateur Samuel Benchetrit (J’ai toujours rêvé d’être un gangster) emmène Vincent Macaigne, Vanessa Paradis et notre compatriote Bouli Lanners dans une fable canine sur la servitude humaine. Chien écrasé, ami fidèle, amoureux à la niche, la transformation du héros traité «comme un chien» sert de métaphore à une œuvre épurée qui questionne l’aliénation et l’état d’amour.

  • EN SALLES LE 2/5.

Place publique

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Avec son complice de toujours, Jean- Pierre Bacri, Agnès Jaoui (Un air de famille, Le Goût des autres) récidive, avec Place publique, dans la comédie de mœurs habile, cernant avec une acuité tendre les rapports sociaux contemporains. Le temps d’une fête de pendaison de crémaillère dans une maison de campagne «à 35 minutes de Paris», on y suit les déboires d’un animateur télé cynique et sur la sellette (Bacri en mode Thierry Ardisson) face
à sa productrice pragmatique (Léa Drucker), son ex-femme idéaliste et sentimentale (Jaoui), sa maîtresse qui le fuit (Helena Noguerra) et sa fille qu’il n’a pas assez aimée.
EN SALLES LE 18/4.

Mektoub my love

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Quatre ans après La Vie d’Adèle, Abdellatif Kechiche (La Graine et le Mulet, L’Esquive) revient avec Mektoub, my love: canto uno, l’adaptation libre d’un roman de François Bégaudeau (La Blessure, la vraie): l’histoire d’Amin, apprenti cinéaste
(et double de l’auteur) qui revient passer un été à Sète, la ville de son adolescence. De retrouvailles éperdues en rencontres féminines exaltées, on pourra toujours reprocher à Kechiche de trop filmer les fesses des filles et d’étirer à l’infini ses scènes de danse et de regards. Mais voilà, Kechiche est un grand cinéaste de l’amour juvénile, du désir futile et à jamais fuyant, assumant tout, au-delà même de ce fameux regard masculin qui l’obsède. Et son dernier film est éblouissant.

  • EN SALLES LE 2/5.

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