Attention, ces races de chats ne seront bientôt plus admises à Bruxelles

Vous envisagez d’adopter un chat? Avant de franchir le cap, prenez connaissance de cette nouvelle mesure qui sera bientôt appliquée à Bruxelles.

Vous caressez souvent votre chat? Attention, trop de câlins pourrait nuire à sa santé!

Vous adorez les chats et vous envisagez d’adopter un nouveau petit compagnon dans les prochaines mois? Sachez qu’une nouvelle loi va entrer en vigueur dans la région bruxelloise.

Plusieurs races interdites

Le gouvernement bruxellois a adopté un projet de loi visant à interdire certaines races de chats. Très bientôt, élever ou détenir un chat hybride ou Fold sera interdit en région bruxelloise. Le gouvernement suit ainsi l’avis du Conseil du Bien-être animal qui estimait que ces races présentaient trop de dangers. Si les termes « chats hybrides » vous paraissent flous, sachez que cela concerne, entre autres, le Bengal et le Savannah, deux races assez populaires sur Instagram. La raison? Ces chats présenteraient des comportements dangereux.

Les Scottish et Highland Fold – vous voyez, ces adorables boules de poils avec des oreilles légèrement repliées? – , quant à eux, seraient interdits car ces races sont sujettes à des problèmes génétiques qui engendreraient des malformations et des douleurs. « Cette malformation congénitale provoque des douleurs importantes et de l’arthrite chronique. Pour éviter ces souffrances, il est décidé d’interdire également l’élevage, la commercialisation et la détention de ces chats, et ce pour arriver à une extinction progressive”, explique Bianca Debaets, la secrétaire d’État au Bien-être animal, dans La Libre Belgique.

Que faire si mon chat est dans la liste?

Malheureusement, cette loi ne concerne pas uniquement les nouvelles adoptions, cette loi interdira également la détention de chats hybrides ou Fold. Que devez-vous faire si vous possédez un de ces chats de race? Pour les hybrides, vous devrez impérativement obtenir une autorisation de la part de l’administration bruxelloise. Dans le cas contraire – ou si l’avis est négatif – les propriétaires des chats concernés devront prendre les mesures nécessaires pour empêcher la reproduction.

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