L’assiette du bonheur: que faut-il manger pour être heureux?

Bien manger est une source de plaisir. Littéralement, car on ne nourrit pas seulement notre estomac, mais aussi notre cerveau et notre humeur.

Rien n’a autant le pouvoir de nous rendre à la fois heureux et malheureux que la nourriture. La nourriture devrait être notre alliée, mais nous la considérons bien trop souvent comme une ennemie. En témoignent tous les régimes chocs et les modes alimentaires qui changent sans arrêt. Qui peut encore savoir ce qui est bon pour la santé quand on est à ce point bombardé d’informations contradictoires ? 

Le journal alimentaire est-il la clé pour perdre du poids sur le long terme? Réponse ici!

Ce dossier fait partie de notre article paru dans le magazine d’août. Pour y accéder gratuitement, il suffit de vous inscrire ci-dessous, cela ne prendra qu’une poignée de secondes!

Le meilleur régime alimentaire

L’un des régimes les plus efficaces sur la santé mentale est le régime Mind (Mediterranean-Dash Intervention for Neurodegenerative Delay), qui a été mis au point par le Rush University Medical Center (Chicago). Son but initial était de prévenir les effets de la maladie d’Alzheimer, mais d’autres effets positifs ont été constatés : diminution de la tension artérielle, des risques de maladies cardiovasculaires, du diabète et des pensées dépressives. Il est basé sur le régime méditerranéen, que préconise aussi la professeure De Waele. « C’est vraiment le meilleur mode d’alimentation. Tous les régimes qui suivent ce modèle appliquent les mêmes principes de base : pas trop de graisses animales, plus d’aliments végétaux et une bonne répartition des prises alimentaires sur la journée. Mais une juste proportion de graisses, sucres et protéines est importante aussi.

Un cerveau plus actif

Même ceux qui ne suivent pas le régime méditerranéen de manière très stricte constateront un effet positif sur leur santé mentale et physique. Au sein de la Women’s Brain Initiative (Weill Cornell Medical Center, New York), des scans ont montré que le cerveau des personnes qui suivaient le régime méditerranéen était plus grand et plus actif que celui de ceux qui avaient une alimentation typiquement occidentale. La Harvard Medical School a elle étudié les végétariens assidus et les véganes : ils présentaient un risque légèrement accru de dépression, car leur cerveau ne reçoit pas assez d’oméga-3 et de vitamine B12. Elisabeth De Waele ajoute : « On peut être végétarien, mais il faut être attentif à manger équilibré si on ne veut pas avoir de soucis
à long terme. Manger végane et être en bonne santé sont incompatibles dans ma vision des choses, à moins de prendre des suppléments. »

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