Notre Guest Philippe Geluck nous dévoile ses secrets de style

Ce n’est pas dans son look que Philippe Geluck place sa créativité. Dès qu’il change un élément, ses lunettes, son manteau, on lui dit : « Ce n’est pas toi ! »

Les secrets de style de Philippe Geluck

Les vêtements vous intéressent ?

« Je n’y pense pas. J’ai deux uniformes : chemise bleue et jeans bleu quand le temps le permet, ou jeans noir, t-shirt noir à manches longues Agnès b. et veste noire. Selon les vendeuses de la boutique parisienne Yamamoto, on dirait que monsieur Yohji dessine ses vestes pour moi tellement elles tombent pile-poil. Je m’intéresse si peu à mes vêtements que même pour mes apparitions télé, j’enfile parfois une vieille veste plutôt que la nouvelle. »

Quelles chaussures, avec ça ?

« En hiver, des bottines Paraboot noires. En été, des Dosckides marron. Il y a trente ans, je suis passé à travers un toit et je me suis éclaté un pied. Depuis, bizarrement, il n’y a que ces deux marques dans lesquelles je n’ai pas mal. Parfois, on voit une très belle paire en vitrine et Dany me dit : “Ça t’irait bien.” Mais rien qu’en faisant quelques pas dans le magasin, j’ai mal. Même en baskets. »

Les lunettes ?

« J’ai le même modèle depuis toujours, rond, en métal. J’ai une fois tenté des montures ovales cerclées de noir à l’époque de Lollipop, et quand je revois ces images, je me dis que c’est moins bien. Ma fidélité à ce modèle n’est pas une coquetterie, honnêtement. Ça fait partie de moi, comme ma calvitie. »

Les cheveux, justement...

« C’était Dany qui me les coupait jusqu’à ce qu’une coiffeuse sur un plateau de télé me demande : “Mais qui t’a fait ce massacre ?” Du coup, je vais chez le coiffeur au bout de la rue. Pendant le confinement, la coiffeuse de Dany venait à la maison. »

Un parfum ?

« Heu... J’ai mis un aftershave Hugo Boss, je crois. Je ne sais plus trop. En revanche, Dany, elle, porte depuis toujours la même eau de toilette : Aramis d’Estée Lauder. C’est pour homme, mais ça lui va comme un gant. Ce parfum est totalement associé à elle. Si je dois partir à Paris en hiver, il m’arrive d’en vaporiser sur mon écharpe pour un peu l’emmener avec moi. »

Un vêtement trop moche ?

« Le string ! Celui du boby-builder tatoué, ça me paraît insensé. Et celui que j’ai dû porter en thalasso : le string en papier, dont on ne distingue pas l’avant de l’arrière. Ça, c’est monstrueux ! »

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