Lockdown paresseux: ces projets qu’on a vite abandonnés en confinement

Un cours d’anglais, du sport, du banana bread... Le confinement aurait dû nous permettre de mettre à exécution un tas de projets, vite passés aux oubliettes. Mais pas de raison de culpabiliser, car la flemme a aussi quelques vertus insoupçonnées. Nos lecteurs et lectrices nous ont confié ces petits et grands projets avortés pendant les confinements.

Pierre (42 ans)

« J’ai cédé à la folie du pain au levain. Après avoir regardé dix vidéos, j’ai mélangé de la farine et de l’eau, j’ai tout mis sur le dessus du frigo. Trois mois plus tard, j’ai jeté le contenu moisi à la poubelle. »

Sylvie (36 ans)

« J’ai été envahie de pubs pour des apps de fitness à la maison, comme Figure 8. Je l’ai impulsivement achetée, en me disant que je m’y mettrais le lendemain. Le lendemain n’est jamais arrivé... »

Eva (40 ans)

« J’ai dû aider ma fille à suivre ses cours à domicile, et notamment les cours d’anglais. J’avais tellement honte de mon niveau que j’ai décidé de moi-même suivre un cours en ligne... Mais après quelques leçons, je me suis rappelée pourquoi mon niveau est si mauvais : je n’aime tout simplement pas cette langue. »

« Lors de ma première séance, j’ai été tellement essoufflée que je reporte inlassablement la deuxième... »

Julia (32 ans)

« Il n’y a pas de meilleur moment pour commencer le jogging que pendant le confinement. J’ai dépensé une fortune en ligne pour acheter des leggings flatteurs, les bonnes chaussures de course et des Airpods hors de prix pour écouter ma playlist en courant. Lors de ma première séance, j’ai été tellement essoufflée que je reporte inlassablement la deuxième. »

Nathalie (29 ans)

« Avec le beau printemps de l’année dernière, j’ai eu l’idée de créer mon propre potager. Au magasin de jardinage, je suis devenue complètement folle. J’ai acheté trois structures de  potager en bois, douze sacs de terreau et une myriade de plantes et de graines : choux-fleurs, choux frisés, choux de Bruxelles, poivrons, fenouils, tomates, céleris, poireaux, courgettes... Trop impatiente pour lire les instructions, j’ai tout planté en une après- midi. Ensuite, les escargots sont arrivés. Puis le froid. Deux semaines plus tard, il ne restait presque plus rien. »

Helena (34 ans)

« Projet kombucha. Champignons puants. Pas besoin d’en dire plus, je pense... »

Découvrez notre dossier « Lockdown paresseux » en intégralité dans le GAEL de mai, disponible en librairie.

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