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Paris, jour deux

Belge, belge, belge

Le créateur indien Manish Arora (qui a réussi le pari de ressusciter la marque Paco Rabanne en à peine deux saisons) a défilé en nom propre ce jeudi à Paris. Dans son monde à lui, tout n'est que beauté et utopie. À commencer par les mannequins (dont certaines, blondes et presque mystiques) ressemblaient à des anges. Mais, contre toute attente, la mode de Manish Arora est bien ancrée dans son époque. Et s'il aime habiller la femme de pièces imprimées (de sublimes bombers aux prints sublimes), de pantalons à sequins très baroques, de robes du soir ornées de chaines bijoux, il a le chic pour créer des coupes fluides et presqu'easy wear qui donnent envie de prendre un aller simple pour son paradis. Du mouvement, il y en a beaucoup dans cette mode-là. Avec, pour la première fois, une série de pulls en maille et des dessous créés en collaboration avec la marque Insensée.

Vous saviez que la maison Delvaux ne produisait que 15.000 sacs par an, contre 150.000 pour Hermès et 7.000.000 pour Vuitton? Avec un nouveau logo (une couronne 100 % belge) et des propositions qui réussissent l'incroyable pari de revisiter le passé de la maison pour devenir de petits bijoux ultra trendy, Delvaux est en train de mettre l'accessoire belge sur orbite. Hier, à Paris, j'ai vu ce que sera l'hiver 2013-2014, version Delvaux: des déclinaisons du Brillant carrément désirables, des pochettes bijou pour le soir, des sacs porte-iPad qui ont l'air de tout, sauf de ça. Maintenant distribué au Corso Como à Milan, chez Selfridges à Londres et dans les plus beaux points de vente de la planète, Delvaux prend son envol sans se démarquer de ce qui fait son ADN: un savoir-faire belge et une pointe d'audace totalement en phase avec l'esprit noir, jaune, rouge.

Encore auréolé du Woolmark Prize European Award 2012 qui vient de lui être remis à Paris, le créateur anversois Christian Wijnants a défilé pour la première fois dans le cadre du calendrier officiel de la Fashion Week parisienne. Autant dire qu'il n'a pas fait de la figuration. La maille, évidemment omniprésente, enveloppe la femme d'hiver imaginée par le belge. Chic, magnifiquement coupée, déclinée dans des tonalités inspirées de la nature, cette maille tourbillonne sur le corps. Une danse qui ne la rend jamais banale, ni anecdotique. À épingler aussi: les combi-shorts en orange vibrant, les effets de superpositions légères et gracieuses, des chemises aux imprimés d'un raffinement presqu'oriental. Du grand art.

M.H.

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