Les petits secrets de Joël Dicker pour une soirée réussie

Évidemment qu’on se régale de raclette chez le Suisse Joël Dicker, avec des patates, de la viande des Grisons, des cornichons et même du pain. Mais ce n’est pas tout !

AUX FOURNEAUX

« Chez nous, les dîners se passent souvent à la cuisine, là où l’action se passe, dans le jus. Ma femme cuisine très bien et moi très mal, mais je suis un bon commis de cuisine, fier de participer. Prendre les rênes en cuisine me stresse à mort. C’est un des seuls trucs où je perds mes moyens. Si je suis seul, je commande à emporter pour que le stress ne m’empêche pas de profiter du moment : des burgers, libanais, iranien (le riz au safran !)... J’ai le choix près de chez moi. »

C’EST UNE BONNE SOIRÉE SI...

« ... je n’attends pas le départ des invités (rires). Je me lève tôt en général, donc le soir, je suis fatigué. Si tout d’un coup, je me rends compte à 1 h du matin que je n’ai pas vu l’heure, c’est bon signe. »

FALLAIT PAS !

« Le cadeau qui me fait le plus plaisir est celui un peu personnel, trouvé en rapport avec moi, sans forcément y avoir passé une heure non plus. Un bouquin, un joli objet ou une bouteille d’alcool fort : j’aime beaucoup les tequilas, vodkas, whiskies... »

PETITS DANS LES GRANDS

« Normalement, comme on sait, l’homme mange directement dans le plat pour faire le moins de vaisselle possible. Mais moi, je trouve agréable d’utiliser notre jolie vaisselle, même pour le quotidien, et donc quand on reçoit. Un jour, on cassera une assiette, mais au moins elle aura servi. »

MIX & MATCH

« On invite de préférence deux à quatre personnes. Au-delà, je trouve qu’on ne fait que se croiser. Et je mélange peu les convives, car ça ne prend pas toujours très bien. Pardon, mais... on n’a déjà pas le temps de voir les gens qu’on aime, alors si je les invite, c’est très égoïstement pour moi, pour les voir. Du coup, je n’ai pas envie de compliquer. Heu, je ne suis pas un sale type ? »

QUAND IL Y EN A POUR DEUX...

« J’aime que les gens se sentent bien accueillis. Déjà qu’il y ait suffisamment à manger et à boire, parce que je déteste aller chez des gens et avoir faim. On connaît tous ce couple-là qui mange et sert très peu... Parfois, je mange avant de sortir, j’avoue. J’aime aussi l’idée de pouvoir improviser et de dire à quelqu’un : “Reste dîner.” Il y a toujours un moyen d’allonger le plat. Même quand on boit simplement un café, j’ajoute le petit biscuit : je tiens au cérémonial qui invite l’hôte à bien s’installer. »

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Bien dans mon moral, Joël Dicker en Guest: le GAEL de mai est là!

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