Stéphane De Groodt nous confie ses secrets de style

Monomaniaque assumé, notre Guest Stéphane De Groodt ne connaît pas le doute devant sa garde-robe. Même l’été le détourne à peine de son uniforme.

Ton vêtement fétiche ?

« Un jour, je me suis acheté un pull en cachemire et je m’y suis senti super bien. Je me suis dit que la douceur de ce pull était l’endroit où je me sentais le mieux. Du coup, je l’ai racheté en de nombreux exemplaires, en bleu marine et en noir (chez Eric Bompard). »

Avec ça, que portes-tu ?

« M’habiller prend deux secondes : j’enfile invariablement un jeans bleu foncé (Lee) si le pull est bleu, un noir si le pull est noir. C’est un truc de fou, mais je peux éventuellement aller jusqu’à porter un pull noir avec un jeans bleu ! »

Ou l’inverse ?

« Curieusement non... »

Et aux pieds ?

« Des baskets Stan Smith. J’en ai aussi des tas, toujours avec la patte bleu marine. Les chaussettes sont rouges. Vous ne me verrez jamais en tongs ou en sandales. Au pire, ce sera sans chaussettes dans mes baskets. En hiver, j’ai mes cinq exemplaires de boots en daim marron foncé, que je trouve à Paris chez Officine Créative. »

En été, tu quittes parfois ton pull ?

« Éventuellement pour un t-shirt ou un polo Lacoste bleu, sûrement parce que, petit, je l’associais au look de Michel Vaillant. »

Ton parfum ?

Philosykos, de Diptyque.

Côté pilosité ?

« J’entretiens ma barbe une fois par semaine. Ma préoccupation, ce sont mes cheveux, que je perds à l’arrière, enfin... partout. Mon père est décédé à 75 ans avec encore pas mal de cheveux, dont peu de gris. Comme j’en ai peu, moi aussi, mes potes me charrient : ils prétendent que je les teins. Mais je trouve ça moche pour un homme. Maintenant que ma barbe vire au blanc, ils me croient encore moins. »

D’autres fautes de style, selon toi ?

« Les chaussettes blanches, les boutons sur les cols de chemise, les chemises fantaisie. »

Ta petite folie de l’été ?

« S’il fait vraiment très, très chaud, un bermuda. »

Une marque de fringues où tu trouves ce que tu aimes ?

« Hartford. Avant ma passion pour les pulls, je me suis acheté 17 fois la même chemise bleue chez eux. Et je mettais toujours la même, pour ne pas déplier les autres. Il faudra faire examiner ça par un psy. »

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