Parfum, vêtements… Joël Dicker nous confie ses secrets de style

Joël Dicker aime les nouveaux vêtements, mais pas les essayages en cabine… Du coup, il connaît très bien les marques qui lui vont. Et sa femme veille (parfois) à la touche originale. Par Anne-Sophie Kersten.
Si tes amis devaient décrire ton style ?
« Relax et élégant. C’est t-shirt ou pull, quasi jamais de chemise, sauf celles en jean. Je suis le plus souvent en baskets, des modèles sobres. J’ai quatre paires de Common Projects, blanches avec la languette arrière d’une autre couleur. »
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Tu pourrais en porter pour aller à une soirée chic ?
« Quand tu es artiste, tu peux ! J’enfile une veste avec une poche sur un t-shirt. J’adore les t-shirts de Buck Mason et ceux de Ka/Noa, un peu épais, qui tombent impeccablement. J’ai dix t-shirts blancs, dix t-shirts noirs, je mets ça toute l’année. J’aime qu’ils gardent leur forme après lavage. La marque Ka/Noa est incroyable pour ça : c’est un couple italo- suisse qui l’a lancée pour les hommes qui ne veulent pas se prendre la tête. Leurs matières se froissent peu et toutes les pièces se combinent entre elles. Idée géniale selon moi qui ne suis pas très bon dans les associations. »
En été, que portes-tu ?
« Je préfère les pantalons légers aux shorts. Ceux de la marque australienne Zanerobe sont un rien stretch et assez habillés. Si je porte un short — en vacances alors —, il est juste au-dessus du genoux, sinon c’est drôlement moche. Et je troque mes baskets contre des Vans ou des Toms en toile de couleur.»
“Les chaussettes blanches sous le pantalon de costume, ça n’est pas possible.”
Où trouves-tu tes jeans ?
« Chez Ka/Noa encore. Ou chez Frame, catégorie fit slim avec un peu d’élasthanne : confort et tenue. »
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Tu as des bracelets souvenirs au poignet…
« Oui, c’est l’angoisse. J’ai deux “yeux grecs”, dont un depuis onze ans. Je dois attendre qu’ils tombent, sinon ça porte malheur. Je ne sais pas si j’y crois ou pas, mais le jour où ils tombent, je reste pour toujours sans rien ! »
Ton parfum ?
« Platinum Égoïste de Chanel depuis quinze ans. Si je tente autre chose, je me dis : “C’est qui ce mec à côté de moi qui ne sent pas bon ?” »
Une faute de goût ?
«Je ne suis pas le roi de la mode et il y a sûrement des raisons qui les autorisent, mais moi, les chaussettes blanches sous le pantalon de costume, ça n’est pas possible. »
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