Crush mode: Paolina, le label belge branché qui illumine l’automne

Marie Honnay, notre experte mode, partage chaque mois une marque locale qui la fait vibrer. Ce mois-ci, focus sur les chemises belges Paolina.

La fille derrière la marque ?

En mai dernier, Macha Dormal, une Belge entrée en mode après avoir fait carrière dans un autre domaine, a choisi de se lancer un nouveau défi créatif. Paolina, le nom solaire et joyeux de son microlabel centré sur la chemise, une pièce qu’elle dessine puis fait réaliser dans un atelier belge dans de beaux cotons de qualité européenne, est un clin d’œil à la barque catalane que possédait son grand-père. C’est dans cette région d’Espagne gorgée de soleil où Macha a passé de nombreux étés qu’elle a fait le plein d’images et de souvenirs d’enfance ; autant d’inspirations qu’elle a voulu traduire dans des chemises au parfum d’ailleurs.

 

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Si la coupe est commune à toutes les pièces du label — Macha a opté pour un modèle ample et cool —, les motifs colorés et les associations de deux tissus contrastés donnent l’impression que chaque chemise est unique. Ce qui, dans un sens, n’est pas tout à fait faux puisque Paolina joue la carte de la petite série (maximum 20 pièces par tissu) et que chaque vêtement est numéroté.

Ce qui me fait craquer ?

Parce qu’il m’a suffi d’une seule photo repérée sur Instagram pour tomber sous le charme des grandes chemises de Macha : des chemises qu’on porte fermées ou ouvertes, sur un jeans ou par-dessus un bikini. Puisqu’il s’agit de tailles uniques, je peux prêter la mienne à ma mère, qui la porte par-dessus un pantalon pour fluidifier sa silhouette, tandis que moi, je l’enfile pour donner un supplément d’âme à une jupe tube un peu sage. Parce qu’elle est large et bien coupée, cette chemise ajoute une touche de nonchalance à n’importe quel look, même très simple. J’aime aussi la manière dont Macha a décidé de mener son projet : à son rythme, sans brûler
les étapes, en évitant de surproduire et en privilégiant une production locale, en circuit court.

 

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La pièce à s’offrir ?

Craquez pour un motif très identitaire. La bonne nouvelle, c’est qu’ils le sont tous. Au fil des mois, le modèle de base restera, mais Macha fera évoluer les tissus pour cadrer avec les différentes saisons. Paolina a d’ailleurs choisi de se libérer des rythmes frénétiques propres au secteur textile en produisant de manière juste et en petites quantités. Si le projet vous séduit, vous pouvez craquer pour une robe conçue sur la même base, allongée de quelques centimètres, que vous pouvez porter avec ou sans ceinture, mais aussi ouverte comme un kimono.

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