3 questions à Emmanuelle Adam, fondatrice de Lilù

Déjà 10 ans qu’Emmanuelle Adam, fondatrice de la marque belge Lilù, crée avec passion sacs à main et autres pochettes personnalisables et hautement désirables. GAEL lui a posé 3 questions.

EN 10 ANS, LA MARQUE LILÙ A PAS MAL ÉVOLUÉ...

Oui, entre l’atelier, galerie du Roi, et la boutique-atelier rue du Bailli, ça a pas mal bougé. Mais une chose demeure inchangée: les sacs sont toujours fabriqués dans notre atelier. Le local et l’artisanal, c’est vraiment important pour nous. D’ailleurs, si un jour ce n’était plus possible de produire en Belgique, j’arrêterais. Et c’est important pour nos clients aussi. Beaucoup demandent à voir l’atelier et se laissent tenter par une création sur mesure.

LA FEMME D’AUJOURD’HUI VEUT-ELLE LE MÊME SAC QU’IL Y A 10 ANS?

En termes de style, je trouve qu’il y a une évolution. Déjà au niveau des cuirs. Avant, la plupart des femmes voulaient des cuirs grainés. Moi je n’ai jamais aimé, et j’ai l’impression qu’on a passé ce cap. Et puis, les femmes qui veulent acheter un beau sac commencent à s’intéresser à des marques moins conventionnelles. J’ai même des jeunes filles de 18- 20 ans qui emmènent leur maman à la boutique. Généralement, elles ressortent chacune avec un sac!

POUR VOUS, QUEL EST LE MUST DE VOTRE COLLECTION AUTOMNE-HIVER?

Le Lucia XXL en croco embossé vert. On choisit nos cuirs aux foires de Milan et de Paris. Quand j’ai vu cette peausserie, mon cœur est sorti de ma poitrine.

Lilù: la collection automne-hiver 2016

Made in Belgium:

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