8 astuces pour arrêter de se comparer aux autres

Toujours plus compétitive, vous n’arrêtez pas de vous comparer aux autres et ça vous déprime? On vous dit comment mettre un terme à cette manie!

Vous n’arrêtez pas de vous excuser pour tout? Cet article est fait pour vous!

« Son job est plus intéressant que le mien ». « J’aimerais être aussi belle qu’elle ».  » « Son copain a l’air si attentionné. Pourquoi mon chéri n’est-il pas comme lui »? Vous vous comparez sans cesse aux autres? Si vous voulez compromettre votre propre bonheur, c’est réussi... Vous ne pouvez pas être la plus belle, la plus intelligente et la plus courageuse: c’est un combat que vous ne pouvez pas mener, mais ce n’est pas pour autant que vous ne pouvez pas vous sentir comme la femme la plus incroyable du monde et d’aimer la fabuleuse personne que vous êtes.

8 astuces pour ne plus se comparer aux autres

Comment pouvons-nous mettre un terme à cette course à la perfection? Comment apprendre à nous détacher du regard des autres et accepter la personne que nous sommes?

Accepter l’imperfection

La toute première étape pour mettre cette course à la perfection derrière nous est de réaliser que la perfection que nous recherchons tant n’existe pas. Gardez à l’esprit que le chemin vers la « perfection » est non seulement infini, mais il est terriblement éreintant et ne peut mener au bonheur.

Être plus indulgent vis à vis de soi

Se déconnecter de la course à la perfection ne réussira que si vous pouvez vous convaincre que – malgré quelques «imperfections» – vous êtes parfait(e) comme vous êtes. On le sait, c’est plus facile à dire qu’à faire, mais vous devez apprendre à être plus bienveillante et indulgente vis-à-vis de vous même. Ne vous blâmez pas inlassablement pour vos erreurs et acceptez vos défauts sans perpétuellement les pointer du doigt. N’écoutez plus cette petite voix en vous qui vous rabaisse. Vous êtes à votre place et vous méritez ce qu’il vous arrive!

Apprendre à mieux se connaître

Être plus indulgent vis à vis de soi ne peut réussir que si vous connaissez bien votre personnalité. Mettez en avant vos qualités, vos valeurs et ce qui vous rend unique vis à vis des autres. Savoir qui vous êtes et mettre en avant vos passions vous aideront à abandonner votre « quête éternelle de la perfection ».

Embrasser ses imperfections

On le sait bien que c’est plus facile à dire qu’à faire mais essayez de ne pas voir vos imperfections comme des défauts mais des forces. « Ne considérez pas ce qui vous fait « dévier de la norme » comme quelque chose dont vous devriez avoir honte, mais comme quelque chose dont vous devriez être fier , car ce sont vos imperfections qui font de vous la personne unique que vous êtes« , tel est le message de Brené Brown, auteur du best-seller « Le pouvoir de la vulnérabilité ».

Partager ses échecs

Un bon moyen pour faire taire cette voix compétitrice est de se dire que tout le monde est dans le même bateau. Peu importe à quel point la vie d’une personne sur Instagram ou Facebook peut sembler parfaite, derrière chaque visage se cache une histoire différente. Faites le premier pas et n’hésitez pas à partager vos mauvaises expériences avec votre entourage. À leur tour, ils vous raconteront également leurs échecs et vous vous sentirez moins coupable.

Prenez du recul

Au lieu de vous concentrer sur ce que vous n’avez pas encore accompli ou sur les erreurs que vous avez commises, concentrez-vous sur le chemin que vous avez déjà parcouru. Les personnes qui peuvent voire la vie de manière positive et qui se focalisent sur leurs victoires ont tendance à être plus heureuses que les gens ayant une vision pessimiste. Exercez chaque jour cette « pensée positive ». Pour ce faire, prenez un moment chaque soir pour lister tous les événements positifs de la journée.

Se chouchouter

Pour mettre de côté ce sentiment de compétition intense, offrez-vous du temps pour vous défouler ou vous déconnecter. Sport, escapade nature, cours de poterie: offrez-vous du temps pour exploiter vos loisirs préférés.

S’apaiser

Le gourou de l’auto-compassion américain Paul Gilbert a même une explication scientifique qui explique notre perfectionnisme. Selon lui, notre cerveau gère nos émotions de trois manières. Le premier système est «de lutter et fuir» : c’est lui qui s’active lorsque nous nous sentons anxieux ou menacés. Il nous permet d’agir rapidement et efficacement en cas de besoin.

Un deuxième système se base sur la motivation. C’est lui qui nous encourage à fixer des objectifs. Ceux qui s’attardent trop longtemps dans ce système ont tendance à se montrer trop perfectionnistes. Les deux systèmes sont nécessaires pour que nous motiver à faire quelque chose de notre vie. Mais si votre cerveau y passe trop de temps, il y a un déséquilibre qui peut mener à un syndrome d’épuisement professionnel, la dépression ou des addictions.

Pour garder l’équilibre entre les deux, il existe un troisième système. Il est axé sur le fait de se sentir satisfait et de profiter du moment « l’ici et le maintenant » sans devoir poursuivre de nouveaux objectifs. Prenez du temps pour développer ce troisième système.

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