Avoir la flemme serait génétique selon une étude américaine

Vous devez faire la vaisselle, ranger votre chambre, nettoyer le couloir... Mais au lieu d’agir, vous contemplez la situation? C’est normal!

Votre tendre moitié râle que vous ne participez pas aux tâches communes? Pas de panique, la flemme qui s’empare de vous pourrait ne pas être entièrement de votre faute. C’est en tout cas ce que révèle une étude américaine expliquant que celle-ci serait ... génétique!

Sportif ou trainard?

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs Frank Booth et Michael Roberts ont placé, durant six jours, une série de rats dans des cages dotées d’une roue tournante. Cette dernière permettait de calculer pendant combien de temps chaque rat montait dans la roue de leur plein gré.

Après cela, les 26 rats les plus sportifs ont été accouplés et de même pour les 26 plus flemmards. L’opération a été réitérée pendant dix générations et conclusion finale: la lignée des sportifs pouvait courir dix fois plus que la lignée plus négligente.

Dans un deuxième temps, les chercheurs ont procédé à une évaluation génétique et ils ont découvert 36 gènes, sur les pas moins de 17 000 présents dans une partie du cerveau, capables d’agir sur la motivation concernant l’effort physique.

Evidemment, on ne peut être certain que la génétique puisse réellement expliquer entièrement notre flemmardise, mais on se dit que c’est déjà une bonne excuse, non?

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