"Je veux du bonheur", son nouvel album, tombe à point pour la saison. Sympa comme une robe d'été... On en a causé ensemble en grignotant quelques délicieuses pralines belges. Par Joëlle Lehrer
Des émotions
"La conception de ma musique, c'est toujours des rythmes ensoleillés et chaloupés, mais qui ne m'empêchent pas d'aborder des thèmes graves ou plus profonds. Le plus important, ce sont les émotions. La chanson Je veux du bonheur a été écrite un peu comme un mantra sur un texte de Serge Lama. Je lui ai demandé une chanson qui donne la pêche."
Pas nombriliste
"Ce n'est pas un album autobiographique. Mais quelque part, en parlant de ce qui m'entoure, je parle indirectement de moi. Dans Tombé sous le charme, je fais allusion à la Louisiane qui m'a happé dès mon arrivée. J'étais envahi par les marching bands, ces orchestres de rue. Là-bas, la musique résonne de jour comme de nuit. J'ai voulu casser ma rythmique et intégrer le son d'un marching band."
Fan de Jamiroquai
"J'adore les chapeaux comme on peut le voir sur la pochette de l'album. J'étais un grand fan de Jamiroquai. Il me fascinait. Et du coup, je me suis mis à porter des chapeaux comme lui. Il n'y a que lorsque je fais l'amour que je n'en porte pas."
J.L.
-Christophe Maé, "Je veux du bonheur", Warner Music.
-En concert les 14 et 15 mars 2014 au Palais 12 à Bruxelles.
LIre l'intégralité de l'interview dans le GAEL d'août.
