3 questions à Marina Spadafora

La créatrice Marina Spadafora a imaginé pour Pinko la collection capsule Bag for Ethiopia. Marie Honnay l’a interrogée à propos de ce projet caritatif.

Pinko Bag for Ethiopia, c’était l’un des coups de cœur présentés par Marie Honnay lors de la Fashion Week de Milan: des sacs aux motifs inspirés des peintures corporelles des tribus de la vallée d’Omo en Ethiopie, réalisés par des ateliers de femmes et vendus dans les boutiques Pinko au profit d’un programme d’aide aux populations de cette région du monde. Elle a posé quelques questions sur ce joli projet à son instigatrice, Marina Spadafora.

Les imprimés des sacs sont inspirés du body painting qui se pratique dans la vallée d’Omo. Une jolie histoire...

J’ai découvert que ces gens ne possédaient pas de miroir. Leur miroir, c’est le regard de l’autre. Une jolie manière de revoir notre rapport au corps et a vêtement.

Ce projet est très éloigné de l’image glamour de Pinko...

C’est vrai. Pourtant, Pietro Negra (CEO de Pinko) a adhéré tout de suite à l’idée. Malgré les difficultés liées à une production en Afrique, il m’a suivie à 100 %.

La vente de cette collection va permettre de soutenir des programmes de développement. Une idée dans l’air du temps?

Je pense en effet que le temps est venu de porter un regard neuf sur le monde et d’aider l’Afrique de manière constructive. Au travers de différents programmes éducationnels, come celui-ci, notamment.

Les sacs de la collection Pinko Bag for Ethiopia sont disponibles dans les boutiques Pinko et sur l’e-shop Pinko au prix de 70 €. Une fashion B.A.

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