Musique: 3 questions à Iliona, la Bruxelloise qui monte

Après un 1er EP, Tristesse, qui a récolté 6 millions de streams, pour les 9 chansons de son 2e EP, la Bruxelloise de 21 ans a à nouveau enregistré dans sa chambre-cocon : beats électro, textes poétiques, piano, guitare, accents rétro et mélodies qui collent au cœur et au corps. Par Isabelle Blandiaux. Photo (c) Roxane Diamand.

Peux-tu expliquer le titre de ton EP, Tête brûlée ?

Dans la vie, je suis prudente, timide, l’inverse d’une tête brûlée. Mais dès que je crée de la musique, mon instinct prend le dessus et je ne me méfie plus de rien. Je me suis lancée dans mon projet sans faire d’études. J’ai toujours eu un feu en moi, qui ne demandait qu’à s’exprimer.

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Tes chansons véhiculent beaucoup d’émotions et d’images mentales, comme un cinéma intérieur. C’est voulu ?

Elles partent toutes d’un ressenti, oui. Je cherche à créer une bulle cinématographique pour chaque morceau. J’adore travailler avec des bruitages.

Ta musique s’équilibre entre mélancolie et légèreté...

Je suis très sensible. Que cela soit de la joie ou de la tristesse, c’est toujours très intense. C’est une force de ressentir tout en grand, cela crée des histoires. Même si la mélancolie est là, c’est important pour moi d’amener un côté rythmé, solaire, dansant.

  • EP TÊTE BRÛLÉE (ARTSIDE).

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