Cinéma: les 5 films à ne rater sous aucun prétexte en juin

Ce n’est pas qu’on n’aime pas le soleil (vous nous connaissez): des températures aussi élevées c’est bien pendant quelques jours, mais la météo caniculaire, ça devient vite lassant. Vous êtes aussi rouge que des tomates cerises italiennes et la chaleur vous fait tourner en bourrique dans votre mini-appartement-sauna? Direction les salles obscures: un bon film au frais vous attend!? Direction les salles obscures: un bon film au frais (avec une délicieuse glace of course) vous attend! Et voilà les 5 films du mois à ne pas louper.

« THEIR FINEST »

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Londres 1940. En plein Blitz, une jeune femme (Gemma Arterton) est chargée d’écrire un film de propagande destiné à remonter le moral des troupes après la bataille de Dunkerque. Satire légère de la misogynie ambiante, comédie dramatique au romanesque enlevé, le film (dont le titre est emprunté à un discours de Churchill) se révèle une excellente surprise.

  • En salles le 17/5   

« ALIEN: COVENANT »

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Ridley Scott relance la saga Alien avec ce nouvel épisode de la mythologie la plus horrifique de la science-fiction. Le film se place entre le préquel Prometheus (sorti en 2012) et Alien: Le Huitième Passager (1979), qui révélait Sigourney Weaver en pionnière des héroïnes d’action. Les versions d’Alien dans les années 1990 étaient signées James Cameron, David Fincher et Jean-Pierre Jeunet. Le master Ridley Scott retrouve ici le xénomorphe le plus flippant du cinéma aux côtés de Michael Fassbender. Dans l’espace, il n’y a toujours personne pour nous entendre crier...

  • En salles le 17/5

« LES FANTÔMES D’ISMAËL »

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Frénétique et déroutant, le dernier film d’Arnaud Desplechin (Comment je me suis disputé... ma vie sexuelle) explore les affres de la création et les recoins de la mémoire amoureuse à travers l’histoire de Paul Dédalus (Mathieu Amalric), un cinéaste flippé dont la vie est soudain bouleversée par le retour d’une femme aimée (Marion Cotillard). Un film solaire et complexe qui traque l’origine de nos désirs. Avec aussi Charlotte Gainsbourg en nouvelle venue dans l’univers du cinéaste.

  • En salles le 17/5

« Rodin »

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Disparu il y a cent ans, Auguste Rodin inspire à Jacques Doillon une œuvre épurée avec un Vincent Lindon colossal dans le rôle du père de la sculpture moderne. Présentant une version plus heureuse de la passion avec Camille Claudel (formidable Izia Higelin) que celle qu’on a l’habitude de voir, le film livre avant tout le portrait habité d’un homme au travail, que Doillon cerne dans les plans-séquences naturalistes qui font la marque de son cinéma, lui conférant une saisissante vérité.

  • En salles le 24/5

« Marie-Francine »

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Larguée par son mari et licenciée de son boulot à 50 ans, Marie-Francine retourne vivre chez ses parents bourgeois. Sur la base de ce pitch très sociétal, la fabuleuse Valérie Lemercier (Place royale), avec la plume acérée qu’on lui connaît et un vrai sens burlesque, vient détricoter la somme de toutes nos névroses quotidiennes et nous redonne goût au bonheur. Servies par d’immenses comédiens (Patrick Timsit et Hélène Vincent en tête), certaines répliques s’avèrent déjà cultes. Vous reprendrez bien des mini-boudins blancs pour fêter ça à l’apéro.

  • En salles le 31/5

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