Faire sa «bucket list», c’est lister le plus précisément possible ses envies à réaliser avant de tirer sa révérence. L’outil est même devenu un classique du coaching.
«On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte qu’on n’en a qu’une»,
dit l’adage. Alors on énumère nos vœux les plus chers et on entame illico notre deuxième vie.
Aussi utilisée en coaching, la «bucket list» permet à chacun de déterminer ce qui est essentiel, et ce de manière concrète.
On peut s’y mettre à tout âge: il suffit de prendre une feuille de papier et de quoi écrire et de consacrer un peu de temps à sonder ses sentiments les plus profonds.
Bucket list, le principe
-
Demandez-vous ce que vous auriez envie de faire, de voir ou d’avoir dans cette vie, sans tenir compte de ce qui vous freine habituellement – les capacités, le temps, l’argent...
-
Dressez votre liste. Fixer un objectif, aussi délirant soit-il à première vue, aide à cerner plus clairement ce que vous voulez réellement.
-
Les buts sont l’expression de vos désirs intérieurs, de ce qui vous motive dans la vie. Une telle liste a aussi l’avantage de focaliser votre attention sur des choses concrètes.
Bucket list: choisir, c’est apprendre à se connaître
Notre vie quotidienne est devenue extrêmement complexe et diversifiée. Les possibilités – de voyager, de travailler, d’explorer – sont beaucoup plus vastes aujourd’hui qu’il y a cinquante ans. Une infinité de choix s’offre à nous. C’est à la fois un luxe et une angoisse: pour certains, poser un choix peut se révéler extrêmement stressant. Se fixer des objectifs clairs et les nommer peut alors aider à prendre des décisions. Et ce faisant, vous apprenez à vous connaître.
Bucket list: à chacun ses rêves
Ce que vous inscrivez sur votre bucket list ne doit pas être absolument extraordinaire. Que les éléments de la liste soient modestes ou prestigieux n’a aucune importance. Ce qui en a, en revanche, c’est que votre but ne soit pas téléguidé par la société, les médias ou vos proches.
