Christophe, enchanteur public

Il ne reçoit pas tout le monde chez lui, Christophe. Dans son appartement parisien, entre ses synthés et un jeu de cartes, nous avons parlé de "Les Vestiges du Chaos". L'une des plus belles réussites de ce printemps. Par Joëlle Lehrer

En écoutant ce nouvel album, je me suis dit que vous étiez toujours à la recherche de pépites. D'or, de sons, d'images, de moments.

C'est normal. C'est ce qui me donne l'envie de créer. Chaque jour, je suis dans mon petit cabinet de curiosités avec des machines nouvelles que je teste. Je teste de nouveaux plug-ins, de nouveaux sons. C'est ce qui marque la différence avec les albums du passé. La technologie mêlée à la passion de la création donne forcément des choses originales.

Vous avez choisi d'appeler cet album "Les Vestiges du Chaos".

Parce que dans cet album, il y a beaucoup de bandes Revox. J'ai sorti, voici trois ans, un album qui s'appelait "Paradis Retrouvé" qui aurait pu aussi s'appeler "Les Vestiges du Chaos". Tout ce que je garde dans mes tiroirs est vivant et peut figurer, un jour ou l'autre, sur un de mes disques.

Vous faites de l'upcyclage.

Oui, je préfère ce mot à "recyclage".

-Christophe, "Les Vestiges du Chaos", Universal Music

-En concert le 11 février au Cirque Royal.

Lire l'intégralité de l'interview dans le GAEL de mai.

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