3 questions à Pierre Niney

Son anguleux visage ne quitte plus les écrans. Dans le ténébreux Frantz de François Ozon, il est Adrien, jeune homme traumatisé par la guerre de 1914-1918 qui choisit de mentir pour survivre. Il sera ensuite le fils du commandant Cousteau, aux côtés de Lambert Wilson, dans L’Odyssée. Rencontre express.

Comment choisissez-vous vos films?

« Je marche au coup de cœur. Mon premier choc en tant que comédien, c’était L’Éveil du printemps, une pièce sur l’initiation à la sexualité. Au cinéma, j’aime l’éclectisme de François Ozon, qui se renouvelle à chaque film. »

Aimez-vous l’art?

« Je serais fou de vous dire le contraire. J’ai beaucoup regardé les peintures d’Egon Schiele pour construire le personnage d’Adrien. Je sentais une vraie filiation. Frantz est d’ailleurs un hymne à l’art sous toutes ses formes. »

« J’ai quitté la Comédie française pour faire des films plus longs, comme des voyages. »

Que peut-on vous souhaiter?

« J’ai quitté la Comédie française pour faire des films plus longs, comme des voyages. Pour L’Odyssée, j’ai dû plonger avec des requins, ce dont j’avais une vraie phobie. On a pu toucher les requins, leur donner à manger... Au final, ce fut une expérience exceptionnelle. »

  • FRANTZ, SORTI LE 7 SEPTEMBRE.
  • L’ODYSSÉE, EN SALLES LE 12 OCTOBRE.

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